Perspectives d’emploi Empaqueteur/empaqueteuse de viande - transformation des aliments et des boissons à l’Île-du-Prince-Édouard

Explorez les perspectives d’emploi actuelles et futures des personnes qui travaillent comme d’empaqueteur/empaqueteuse de viande - transformation des aliments et des boissons à l’Île-du-Prince-Édouard ou dans l’ensemble du Canada.

Débouchés à l’Île-du-Prince-Édouard

Ces perspectives d’emploi ont été mises à jour le 11 décembre 2024.

Perspectives au cours des 3 prochaines années

Les perspectives d'emploi seront bonnes pour les manoeuvres dans la transformation des aliments et des boissons (CNP 95106) à l'Île-du-Prince-Édouard pour la période 2024 à 2026.

Les facteurs suivants ont contribué à cette conclusion :

• la croissance d'emploi prévue devrait entraîner la création de plusieurs postes
• un certain nombre de postes deviendront disponibles en raison de départs à la retraite
• un certain nombre de travailleurs expérimentés sont à la recherche d'un emploi dans cette profession

L'économie de l'île devrait se développer à un rythme respectable au cours de la période de prévision, ce qui devrait favoriser la croissance de l'emploi dans cette profession. En effet, on s'attend à ce que les taux d'intérêt continuent de baisser, ce qui encouragera les dépenses de consommation et les investissements des entreprises. Parmi les facteurs qui pourraient nuancer la demande pour les manœuvres à l'avenir, il y a la concurrence étrangère accrue exercée par les fabricants à faible coût et l'augmentation de l'automatisation des usines. Toutefois, la faiblesse du dollar canadien pourrait augmenter la demande pour des produits manufacturés au Canada.

Plusieurs personnes exercent cette profession sur une base temporaire puisqu'ils recherchent d'autres choix de carrière. Par conséquent, ce groupe de professions a tendance à afficher un taux élevé de roulement du personnel, ce qui devrait créer un certain nombre de possibilités d'emploi pour les travailleurs potentiels. Il existe peu d'obstacles à l'entrée dans cette profession et le niveau de compétence exigé est faible. Les fonctions du poste peuvent être exigeantes sur le plan physique, et les manœuvres pourraient également avoir à travailler après les heures de travail régulières, ce qui peut également dissuader certaines personnes à demeurer en poste.

Voici quelques faits saillants au sujet des manoeuvres dans la transformation des aliments et des boissons à l'Île-du-Prince-Édouard :

• environ 350 personnes occupent un poste dans cette profession
• les manoeuvres dans la transformation des aliments et des boissons travaillent principalement dans les industries suivantes :
  • fabrication d'aliments, de boissons et de produits du tabac (SCIAN 311, 312) : 84 %
• leur répartition entre le travail à temps plein et à temps partiel est :
  • travail à temps plein : 93 % par rapport à 84 % dans toutes les professions
  • travail à temps partiel : 7 % par rapport à 16 % dans toutes les professions
• 57 % des manoeuvres dans la transformation des aliments et des boissons travaillent toute l'année tandis que 42 % travaillent seulement une partie de l'année, par rapport à 59 % et 41 % respectivement dans toutes les professions. Ceux qui travaillent seulement une partie de l'année le font en moyenne pendant 42 semaines par rapport à 41 semaines dans toutes les professions
• leur répartition selon le sexe est :
  • hommes : 67 % par rapport à 51 % dans toutes les professions
  • femmes : 33 % par rapport à 49 % dans toutes les professions
• le niveau d'éducation atteint par les travailleurs de cette profession est :
  • pas de diplôme d'études secondaires : 15 % par rapport à 11 % dans toutes les professions
  • diplôme d'études secondaires ou l'équivalent : 50 % par rapport à 28 % dans toutes les professions
  • certificat ou diplôme d'apprenti ou d'école de métier : 9 % par rapport à 11 % dans toutes les professions
  • attestation ou diplôme d'études collégiales ou certificat universitaire de premier cycle : 19 % par rapport à 25 % dans toutes les professions
  • baccalauréat : 7 % par rapport à 17 % dans toutes les professions
  • certificat ou diplôme universitaire supérieur au baccalauréat : moins de 5 % par rapport à 8 % dans toutes les professions

Conditions du marché du travail au cours des 10 prochaines années

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